Au sommaire, le rôle de chacune des parties prenantes (collectivité, maître d'ouvrage, maître d'œuvre, entreprises), la prise en compte des espèces inféodées au bâti et l'intégration de la biodiversité urbaine en lien avec le respect des contraintes techniques de performances énergétiques.
La mise en œuvre d'une isolation thermique par l'extérieur des façades notamment a des conséquences sur la réduction des surfaces d'accroche sur les murs et des débords de toit et la disparition des cavités et fissures. "Les cavités et anfractuosités utilisées par les espèces cavicoles (chauve-souris, moineaux…) sont obturées, les nids d'hirondelle détruits sans possibilité de se fixer à nouveau en raison de façades trop lisses", expliquent le guide. Des solutions existent évidemment et sont présentées dans l'ouvrage comme la création de nichoirs. Il précise également les précautions techniques à prendre en compte pour cette intégration afin de ne pas porter préjudice au bâti.
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